Bien que j’avais prévenu mon ami Paul que je n’étais pas d’une très grande fidélité, ce dernier n’hésitait plus à me rendre visite de façon régulière. J’instaurais donc mes règles, ok il passait quand il le désirait ce qui n’obligeait en rien des parties de jambe en l’air. Ca doit être mon côté un peu garce qui faisait que j’en usais voir en abusais….. Cependant un jour, il me passait un coup de fil pour me proposer un week-end à la mer, je n’avais rien de prévu, j’acceptais donc sa proposition. Il réserva un studio dans une résidence avec piscine. Là, les idées coquines vinrent vite me titiller. Je préparais donc mon sac sans oublié mon dernier maillot de bains, deux pièces s’il vous plait mais avec très peu de tissus.
Nous étions sur le place le samedi matin, par chance il faisait un temps magnifique, après avoir installé nos effets dans l’appartement nous prenons la direction de la plage. Il y avait peu de monde, mais je décidais que nous allions nous mettre un peu à l’écart, pas envie de me retrouver au milieu de la foule qui n’allait certainement pas tarder à arriver.
Je commençais à me passer l’huile sur les jambes, puis sur le ventre, je lui demandais de me défaire mon petit soutient gorge afin de ne pas le tacher en le faisant moi-même. Un fois couchée sur le ventre, lui proposais de prendre le relais, il commença à me masser gentiment pour bien faire pénétrer le produit. Il fît glisser ses mains sur mes cuisses, je les écartais légèrement, histoire de le titiller comme j’aimais le faire. C’est à ce moment que me vînt une idée… Non mon cher Paul tu ne vas pas en profiter tout de suite…. A mon tour de lui passer « la pommade » !!! Je commençais par son torse, descendis sur ses cuisses et je l’invitais à se mettre sur le ventre. Je m’assis sur ses fesses et lui maissais le dos, j’en profitais pour frotter ma petite chatte sur son cul. Je sentais le désir monter en lui, et en moi aussi pour être franche, mais il était or de quetion que je ne cède là!!! Juste envie de l’exiter. Je le sentis agacé, son côté réservé m’amusait beaucoup, je connais quelques de mes amants qui n’auraient pas accepté et m’auraient clouée sur le able pour me prendre. Lui il n’en était rien. Il rageait peut être intérieurement mais cela me plaisait. La journée s’étira gentiment. Le soir il m’invita à souper dans un restaurant de fruits de mer. Hum !!! Encore une douce façon de le provoquer, manger les crevettes avec les doigts, les sucer un à un en le regardant de manière suggestive!!! Je commençais à être émoustillée je dois vous l’avouer. Je glissais un de mes pieds sur sa queue et commençais à le masser discrètement sous la table, son membre ne mit pas longtemps a devenir très dur. Il me demanda d’arrêter, chose que je ne fis pas bien sûr. Le repas terminé, il me suggéra une ballade sur la plage, je lui répondis que je préférais la piscine de la résidence. Il approuva. Nous rentrions donc pour prendre nos maillots et nos serviettes. Il faisait sombre déjà. Je fus la première dans l’eau, elle était tiède, très agréable. Il vint me rejoindre. En quelques brasses je fus contre lui.
C’est maintenant que je te veux, là dans cette piscine !!!! Deux couples sont sur une terrasse au troisième étage, ils ne prêtent pas attention à nous mais moi je les ai remarqués depuis le début. Je retirais le haut de mon maillot, je pris les mains de Paul pour les poser sur mes seins. Il commença à me les malaxer gentiment. Je m’écartais légèrement pour faire glisser mon petit bikini. Me voilà nue dans cette piscine, je lui retirais son boxer, son sexe se dressa, je commençais à le branler. Je lui demandais alors de s’asseoir sur le bord de la piscine ce qu il fit sans poser de question. Je commençais à lui lécher les couilles tout en le branlant, en frottant sa bite contre mon visage, je remontais ma bouche sur son gland et le têta avec impudeur. Au troisième ils avaient cessé de parler, je relevais la tête et les apperçus en train de nous regarder. Je sortis de l’eau, loin d’être intimidée, je poussais Paul afin qu’il se retrouve sur le dos et j’allais m’empaler sur sa queue. J’ondulais sans retenue. Il n’avait pas vu que nous étion obervés, je m’en amusais. Nous avons joui en gémissant et ce n’est qu’après que je lui ai dit que nous étions observés.