Un soir j’étais sous la douche et je pensais aux dépits de la journée. Puis ensuite j’éprouvais l’envie de me masturber. A force de titiller mon clitoris, j’éprouvais une terrible envie de ressentir une queue se déplacer au fond de ma chatte. Sortie à peine des toilettes, on a sonné à la porte. Cela a produit une chaleur en moi car je savais que c’était François,et qu’il venait pour me rendre heureuse. J’ai enfilé une robe de nuit en soie, laissé tomber ma chevelure et je suis allée lui ouvrir. J’ai tout de suite senti deux lèvres se plaquer contre les miennes et les embrasser avec ardeur. C’était comme s’il me disait : « c’est avec hâte que je suis venu, j’ai soif de toi ». Il m’a fait asseoir sur la table du salon, jambes écartées, et debout entre mes jambes, il descendait les fines bretelles de ma robe en me baisant du cou aux seins. Je mouillais. La douche que j’avais prise avait donné à ma peau sensibilité et sensualité. Il me prenait le sein à pleine bouche et le suçait sans retenue. Je gémissais. Mes bouts de mamellons devenaient très durs. Ensuite, je me suis allongée sur la table, jambes grandement ouvertes. Quand j’ai senti sa tête au fond de mes cuisses, je ne pouvais me retenir alors je fermais mes jambes, essayais de caler sa tête et de m’asseoir, car mon coeur battait si vite! Il a passé ses mains sur mes reins pour que je me rallonge, j’ai écarté à nouveau les jambes et j’avais l’impression de ressentir sa langue dans mon corps, tellement elle se mouvait au point de me secouer toute entière et de me faire vibrer. J’avais l’impression qu’il me contrôlait totalement. Je criais et je jouissais. Je le sentais dépendant car il aimait ça. Après plusieurs orgasmes, il m’a mise debout devant lui, a écarté mes jambes et m’a pénétré vigoureusement par l’arrière. Sa verge avait tellement gonflée au point où je me demandais si j’allais tenir debout car je n’avais pas d’appui devant moi. Ses grandes mains me retenaient par les reins, mais je me sentais beaucoup trop faible pour supporter longtemps sa bite. Ses va-et-vient devenaient de plus en plus bestiaux quand je me suis mise à quattre pattes. Mes cris et gémissements les alimentaient sauvagement. C’était chaud ! J’ai atteinds l’orgasme quatre fois avant de sentir son sperme se répandre dans mon corps, et je me sentais ainsi très heureuse, j’avais même envie de le boire…