Il y a de cela deux ans, j’étais invitée à une soirée par Philippe. Il m’avait présenté un collègue de travail. Courtois, beau garçon, cet homme m’ avait proposé de me raccompagner, car il passait près de chez moi pour rentrer. Philippe insistant pour que j’accepte, Je m’étais retrouvée dans une superbe mercedes. Confortablement installée, j’ avais oublié mes soucis…
En chemin, il me proposa de boire un café chez lui. Sentant le piège, je refusai tout d’abord, mais il insista si gentiment, que je n’osai plus rien dire. Il partageait un appartement avec un copain qui, vu l’heure tardive, devait dormir profondément.
Dans l’ascenseur, je remarquai qu’il me dévisageait, mais je fis comme si de rien n’était, et sortis la première à l’étage.
L’intérieur de l’appartement ressemblait bien au logement d’un célibataire…. Tout en parlant de choses et d’autres, il s’assit sur le canapé, près de moi, et me proposa un verre. Tout en parlant, il avait posé sa main sur ma jambe, et il remonta négligemment la main sur ma cuisse douce, vibrante sous le fin voile de nylon qui la couvrait. Il me prit la bouche si tendrement que je ne put faire autrement que de lui rendre son baiser. Tout en m’embrassant, il avait remonté ma robe, et sa main entra en contact avec mon intimité. Je gémis sous la caresse, et ouvris les jambes pour profiter au mieux du plaisir que me prodiguaient ces doigts agiles. Il me prit la main et la posa sur son pantalon, à l’endroit où la fermeture éclair semblait vouloir éclater.. Je sentais sous mes doigts un membre tendu de désir, ce qui me fit de nouveau gémir…Il dégagea mes seins de mon chemisier, dont les pointes se dressaient sous ses caresses. Je défis la braguette de son pantalon, pour faire jaillir un membre gros et long, qui vibra sous mes doigts. Je me mis à genoux sur le tapis, et ma bouche avala son sexe. Mes lèvres aspiraient le gland, puis je me mis à lécher sa queue avec la pointe de ma langue, pour finir par l’avaler de nouveau. Soudain je sentis deux mains se poser sur mes hanches, et une langue curieuse fouiller mon sexe. Sur l’effet de la surprise, je me retournai et découvris un superbe athlète noir, entièrement nu, dont le sexe d’ébène, tendu, était d’un volume impressionnant!! Il me sourit et, en s’excusant, m’ apprit qu’il était l’autre locataire du lieu et que mes cris l’avaient réveillé. J’étais subjuguée par ce beau black, dont les muscles luisaient de transpiration… Je saisis les deux verges, la blanche et la noire, et entrepris de les masturber, tandis que les deux hommes suçaient chacun un de mes seins. Leurs mains me caressaient les fesses, le ventre, la chatte et mes gémissements reprirent de plus belle.. je me mis à les sucer l’un après l’autre. Mes lèvres se distendaient quand elles se fermaient sur la queue noire, j’ avais l’impression que jamais je n’arriverai à la sucer entièrement, et tandis que je suçais une queue, je branlais l’autre. Je constatais que la légende n’en était pas une… La grosse queue noire allait et venait dans ma bouche, rigide, énorme.. Je le suçai avec avidité, au rythme du plaisir que me procurait la queue de l’autre qui m’avait agrippée par les hanches et me labourait la chatte…
Il était violent, ce plaisir… et je gémissais malgré la grosse queue qui m’emplissait la bouche. Je montais et descendais sur la queue du premier, tandis que l’autre me baisait la bouche, en prenant un plaisir évident. J’avais joui plusieurs fois, presque sans interruption, lorsque le plaisir envahit à son tour celui qui me baisait, je reçus l’hommage brûlant de sa semence dans ma chatte inondée, en poussant un feulement rauque..