Je suis déjà couchée, nue, enroulée bien au chaud dans les draps. Je me trouve dans un semi sommeil.
Je suis allongée sur le côté, je sens son corps nu et frais se blottir tout contre moi. Sa main se pose sur mon sein et ses lèvres douces et chaudes sont sur ma nuque. Son souffle dans mon cou me fait frissonner.
J’ai envie de te faire l’amour me murmure t il à l’oreille.
Je sens son sexe tendu contre mes fesses. Par des mouvements de bassin, je me frotte contre lui. Sa main se resserre sur mon sein avant de descendre se glisser entre mes cuisses. Ses doigts parcourent mon intimité.
L’exitation, l’envie de lui est immense. Derrière moi, ses deux mains se posent sur mes épaules. Je saisis son sexe et le glisse entre mes lèvres. Je le sens doucement me pénétrer, il entre en moi me faisant languir, dans un coup de rein fort et doux à la fois, je le sens au plus profond de moi. Son regard dans le miens, rempli de désir, comme je l’aime…
C’est bon de le sentir en moi. Doucement d’abord puis plus énergiquement. Il commence ses va et vient. Nos regards ne se quittent point. Bientôt ses expirations se font plus profondes. Mon bassin adopte son rythme. Chacune de ses pénétrations ne manquent pas de venir glisser sur mon petit bouton. Mes genoux se redressent, Mes talons plantés dans les draps, je me fais plus ouverte.
Je m’offre à lui, chaque allés et venus en moi m’arrachent un gémissement de plaisir intense. Je veux lui appartenir, que tout son être m’envahisse.
Il sent les parois de mon écrin satiné comme une douce caresse sur son membre qui va et vient en moi. Mon bassin se soulève pour favoriser ses pénétrations, mon regard se trouble, ma bouche légérement ouverte laisse échapper des gémissements plus sonores augmentant ton excitation. Tu ralentis un peu le rythme mais je ne l’entends pas ainsi, je te veux encore plus vite, plus fort , plus profondément.
Je te le demande, « viens en moi, prend moi plus fort »
Nos corps ne font qu’un tout comme cette jouissance qui prend enfin part de nous. Je le sens se répandre en moi, que c’est bon … Nos corps se relâchent, se détendent.
J’ouvre les yeux mais non tu n’es pas là, ce n’etait qu’un rêve…